Des livres que j'ai aimé...



"Patrick Süskind est né en 1949 à Ambach, en Bavière. Il a fait des études littéraires à Munich et à Aix en Provence et exerce le métier de scénariste.

C'est l'histoire de Jean-Baptiste Grenouille dont l'âme et le corps n'ont besoin que d'un minimum vital. Grenouille ne vit que pour et par son nez unique au monde. Il a un odorat si développé qu'il en vient même à tuer pour mieux maîtriser les odeurs!

Cette histoire d'un meurtrier peu commun est à la fois épouvantable, drôle, touchante, recherchée. Et surtout, préparez vous à respirer les plus beaux parfums de ce monde mais aussi les pires puanteurs qui puissent être données de sentir."

Un livre qui une fois commencé, ne se quitte plus... Mais c'est un livre qui m'a beaucoup dérangée, je ne sais pas trop comment expliquer mais sa lecture me mettait mal à l'aise, peut être le personnage de Grenouille, déshumanisé, insensible.

 

Grangé entame sa carrière littéraire en 1994 - il a 33 ans - avec "Le Vol des Cigognes". Mais, c'est son deuxième roman, "Les Rivières Pourpres"qui révèle l'écrivain au grand public.

Rédacteur free-lance, collaborateur notamment pour "Paris-Match" et le "National Geographic", il est récompensé par les Prix Reuter et World Press, il enchaîne les reportages aux quatre coins du monde.

"Un ornithologue suisse est trouvé mort d'une crise cardiaque... dans un nid de cigognes. Malgré cette disparition, Louis, l'étudiant qu'il avait engagé, décide d'assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu'en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d'entre elles ont disparu durant la saison précédente...Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d'énigme en énigme et d'horreur en horreur.. "

Suspence, imagination, vérité documentaire, ce thriller est captivant...

 

Adamsberg et son équipe du ciat du 13e sont invités au Québec, à Hull-Gatineau pour: « Une formation de deux semaines ciblée sur le traitement des empreintes génétiques. »
La semaine qui précède leur départ, le commissaire tombe sur un entrefilet dans la presse: « Une jeune fille assassinée de trois coups de couteau à Schiltigheim », lorsqu’un malaise l’étreint brutalement. Par quatre fois, en une même journée et dans des circonstances différentes il va sentir « cette sensation de gêne l’enserrer, ce chat griffu lui sauter sur l’épaule. »
Au cours de la nuit, il décrypte les signes qui ont provoqué ses malaises. Ils le renvoient à la disparition de son frère, Raphael, après qu’il fut soupçonné du meurtre de son amie quelque trente ans auparavant. L’enquête qu’Adamsberg avait alors menée avait permis à son frère d’éviter la prison, mais non de l’innocenter puisqu’il n’avait pu fournir d’alibi et que le coupable n’avait pas été découvert....

Très drôle, le dialecte québécois est un vrai plaisir, l'usage qui en est fait est un sommet d'humour. Attention, un Vargas qu'on ne peut pas lâcher.

 

Ce sont des signes étranges, tracés à la peinture noire sur des portes d'appartements, dans des immeubles situés d'un bout à l'autre de Paris. Une sorte de grand 4 inversé, muni de deux barres sur la branche basse. En dessous, trois lettres : CTL. A première vue, on pourrait croire à l'œuvre d'un tagueur. Le commissaire Adamsberg, lui, y décèle une menace sourde, un relent maléfique. De son côté, Joss Le Guern, le Crieur de la place Edgar-Quinet, se demande qui glisse dans sa boîte à messages d'incompréhensibles annonces accompagnées d'un paiement bien au-dessus du tarif. Un plaisantin ou un cinglé ? Certains textes sont en latin, d'autres semblent copiés dans des ouvrages vieux de plusieurs siècles. Mais tous prédisent le retour d'un fléau venu du fond des âges...

Excellente histoire, originale, personnages attachants, le récit est parfois enlevé, parfois ralenti mais toujours au service de l'histoire qu'on vit avec Adamsberg... Il faut toutefois s'accrocher un peu à la fin pour bien comprendre tous les tenants et aboutissants de l'enquête. Bientôt un film à l'affiche.

 

Dans cette nouvelle aventure, le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg, mon pelleteux de nuages préféré, part à Londres pour trois jours de colloque, accompagné par son fidèle Danglard, paniqué à l'idée de passer sous la manche, et par le jeune et parfois simplet Estalère. C'est la découverte de chaussures (avec les pieds des anciens propriétaires encore dedans !) devant le cimetière de Highgate, haut lieu macabre de Londres depuis sa création, qui va conduire notre héros jusqu'en Serbie. L'équipe d'Adamsberg aura bien du mal cette fois-ci à déjouer les tours des méchants, car elle affronte dans cette nouvelle histoire des vampires

Ce dernier roman est plus violent, plus noir parmi ceux que j'ai lu...

 

 

 

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